Les deux centres de services scolaires se cherchent des directions générales

©Jean-Philippe Thibault - L'Avantage Gaspésien

Josée Synnott occupe le poste de directrice générale par intérim du Centre de services scolaire des Chic-Chocs.

Les centres de services scolaires des Monts-et-Marées et des Chic-Chocs sont à la recherche de directeurs généraux.

D’un côté, le centre de services scolaire des Monts-et-Marées, Alexandre Marion a quitté ses fonctions en 2023 pour se rapprocher de sa famille puisque le poste l’avait amené à huit heures de route de ses proches. Il a été directeur général du Centre de services scolaire des Monts-et-Marées pendant trois ans, succédant à Marthe Émond.

À son départ, il a été succédé par Marie-Pierre Guénette, la directrice des ressources humaines qui assure l’intérim depuis son départ. On recherche maintenant un candidat ayant un bagage d’études ou d’expérience en administration, en instruction publique ou en gestion des affaires.

De l’autre côté, le Centre de services scolaire des Chic-Chocs se cherche aussi un directeur général. Le siège a été occupé par plusieurs personnes au fil des années à commencer par Jean Letarte qui a été en poste jusqu’en 2015, moment où il a pris sa retraite. Il avait alors été remplacé par Martin Savoie. Ce dernier a occupé le poste pendant trois ans de céder sa place à Deslilas Fournier.

L’administration de Mme Fournier aura été au cœur d’un branle-bas de combat qui aura mené à une vérification interne et ultimement à son départ en congé de maladie puis à sa démission. Cette dernière se disait victime d’harcèlement psychologique.

S’en est suivi deux directions générales par intérim, à commencer par celle de Bernard D’Amours, un administrateur chevronné qui a œuvré plus de 30 ans dans le milieu de l’éducation. Travaillant davantage dans la portion Ouest du Bas-Saint-Laurent, il avait accepté d’occuper l’intérim dans les Chic-Chocs. Par la suite, Josée Synnott est arrivée en relève en février 2022.

Si le centre de services scolaire avait débuté un processus d’embauche pour remplacer Josée Synnott, celui-ci a été interrompu en raison d’une nouvelle loi du ministre de l’Éducation, Bernard Drainville, qui a lui donne le pouvoir de nomination d’un nouveau directeur jusqu’à l’adoption de la nouvelle règlementation juridique prévue pour 2025.

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